A vous (e)
Oh soulèves moi, toi vie de tous.
Je suis ton peuple qui rêve.
Des champs infinis, au blés roux,
Détentrice du sang de Eve.
Celle qui se souleva à ta place,
Pauvre indigne du choix divin.
Elle qui étincela la vrai grâce,
D’aimer corps et culture du vin.
Curieuse détentrice du tout univers,
Dans tes mains franches de volonté,
Absolutrice des angoisses de revers,
Vicieuses de nos faiblesses, effrontée.
Notre abandon fut et reste notre adhésion.
Personne ne sait le lâché prise mieux,
Que l’homme livrant avec ou sans passion,
Son cœur, corps et âmes au merveilleux.
Toi, femme !
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