Bref. Trip à patch.
Ces grands voyages de l’esprit
Défont l’emprise de l’amer thune,
Et glissent mon âme dans l’écume,
Des montées droguées sans répits.
Le trou noir de mes poches
Fait mes chansons sans refrains.
Discours pour sans coup de reins
Ironique joie des instants à patch.
La succession de clips dans la rougeur
D’un cœur suintant en continu.
Jusqu’aux yeux, la traite des mises à nu,
Et des soirées ouvertes à la fureur.
Cette faim insatiable pour le cosmos,
Où l’angoisse est bouffée par l’excès.
Sans retour possible, je laisse libre accès
Au vers libérateurs du joug même de Cronos.
Retour aux articles de la catégorie Les rêves de Léonce -
⨯
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 8 autres membres