Y a encore du taf, France
Mon pays, sa culture, j’ai voulu être si fier de toi.
J’ai cru pouvoir m’appuyer sur ton histoire,
M’inspirer des hommes qui t’on fait, qui avaient foi
En ton avenir prometteur, lumière parmi les lumières.
Jouissant d’une jeunesse révolutionnaire qui visait le haut,
Tu as su briser au-delà des tabous, des siècles de traditions,
D’assujettissement civique où tu as fait croire à un renouveau.
Avec un tel élan, nous n’avons pas cru à une autre perdition.
A croire que les jeux étaient faits bien avant notre conscience,
Avant ce besoin nécessaire de vivre mieux ensemble.
Les pinceaux se sont emmêlés, les patrons aux autres licences
Ont su maitriser les rêves, pour en faire une morphine, un temple.
Un autel réservé aux orateurs, les bons parleurs, encore une élite.
Autel que des milliers d’entre nous ont espéré un accès libre.
Cet espoir a finalement été désigné : réserve pour d’autres rites,
Officiés par des faux héros sans faits d’arme, mais des faits de palabre.
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